[Rapport] Bataille de Laon du 7 avril 2012 !
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[Rapport] Bataille de Laon du 7 avril 2012 !
Voici le compte rendu détaillé de notre Grande Bataille du 7 avril 2012, avec plus de 600 figurines et utilisant une traduction de Black Powder par XAVATHOR, qui a également conçu le scénario en s’inspirant de la bataille de Laon, les 9 et 10 mars 1814, qui a vu les Français sous les ordres du Maréchal Marmont se mesurer aux Prussiens de Blücher.
Les forces en présence :
Prussiens : 12 bataillons d’ Infanterie, dont 3 de Landwehr, 6 escadrons de Cavalerie, 4 batteries d’Artillerie.
Français : 16 bataillons d’Infanterie, dont 4 de la Garde, 6 escadrons de Cavalerie, 1 batterie d’Artillerie.
Les Prussiens de Blücher, installés dans Laon sont en position défensive. Les Français arrivent par la route et doivent conquérir le village (L’Eglise « T », le Manoir « M », et la Ferme « F ») et le pont qui franchit l’Ardon, un cours d’eau qui prend sa source non loin.
Les Prussiens sont sous les ordres du FeldMarschall Hervé, qui a directement sous ses ordres la Cavalerie, positionnée en Réserve, et l’Artillerie, déployée sur les hauteurs. Le Generalleutnant Firkaag commande les 9 bataillons de Ligne positionnés derrière la rivière, et le Generalmajor Cedric est positionné en avant-garde dans le village, et occupe le Manoir , l’Eglise, et la Ferme. Il a déployé un rideau de tirailleurs devant ces deux derniers bâtiments.
Les Français commandés par le Maréchal PAB arrivent par la route de Soissons à Laon. L’Aile gauche, commandée par le Général Lucas, se compose 4 bataillons d’Infanterie, et des 6 escadrons de Cavalerie. Le Général Lucas a fait mettre des tirailleurs en avant de ses troupes. Le Général Xavathor, à l‘aile droite a maintenu la moitié de ses troupes en colonne sur la route, avec son Artillerie, et a déployé l’autre moitié en ordre de bataille devant le village, avec un écran de tirailleurs.
Voici la carte des déploiements initiaux :
Et quelques gravures d’époque prises sur le vif :
Le Maréchal PAB donne ses ordres à ses Généraux :
Le plan, et l’exposé du Feldmarschall Hervé à ses Officiers, sont d’une remarquable simplicité :
Les Généraux mettent aussitôt leurs ordres à exécution :
L’Infanterie prusienne sur la rive droite avance légèrement et se déploie un peu en retrait de la rivière, avec des écrans d titailleurs devant elle.
La Cavalerie prussienne commence un mouvement vers la droite du terrain.
L’artillerie prussienne tire quelques boulets pour vérifier le bon réglage de ses pièces.
L’aile gauche française se déploie en ligne d’escadrons, pour la Cavalerie, et en ligne de bataillons, pour l’Infanterie, avec ses tirailleurs en avant, et commence à avancer.
A l’aile droite, la 1ère brigade se met en position devant la Ferme et commence à tirer sur les défenseurs, pendant que la 2ème brigade se déploie pour l’attaque de l’Eglise et du Manoir.
La Garde avance sur la route principale.
Les premiers mouvements :
A la Ferme, un duel de mousqueterie s’engage entre les troupes de Landwehr retranchées dans les bâtiments et les bataillons de la 1ère brigade.
La 2ème brigade du Général Xavathor arrivée à portée de tir de l’Eglise, commence à envoyer des salves sur les troupes prussiennes qui s’y abritent. La batterie d’Artillerie se met en position et dételle.
Malgré leur infériorité numérique, les Prussiens résistent vaillamment dans la Ferme et l’Eglise, infligeant même des pertes significatives aux troupes françaises. Pendant ce temps, l’aile gauche atteint la limite de portée de l’Artillerie prussienne.
Les premiers combats :
Se rendant compte que les défenses prussiennes faiblissent, le Général Xavathor ordonne un assaut général sur la Ferme. Les Prussiens résistent encore un long moment puis finissent par céder, et les rares survivants se replient, après avoir immobilisé la 1ère brigade du Général Xavathor pendant un temps précieux, et lui avoir infligé de lourdes pertes.
Dans son élan, la 1ère brigade attaque le Manoir, pendant que la 2ème brigade monte à l’assaut de l’Eglise
Bien qu’elle soit canonnée par l’Artillerie et sous le feu de quatre bataillons français, l’Eglise résiste toujours.
Sur l’aile gauche française, les tirailleurs ont voulu reconnaître le terrain vers la rivière, mais ont essuyé les tirs de l’Artillerie prussienne et ont dû rebrousser chemin.
Après une très longue résistance, l’Eglise et le Manoir sont enfin pris par les français, qui déplorent de très lourdes pertes. Le Général Xavathor envoie un message au Maréchal PAB :
Situation à ce moment de la bataille :
A la réception de ce message le Maréchal PAB se concerte avec son Chef d’Etat-Major et, compte-tenu des pertes subies par son aile droite, dont il peut juger sur place, il décide de renvoyer la Division Xavathor à l’arrière et de continuer l’attaque avec la Garde, et adresse ce message au Général Xavathor :
Le Maréchal PAB rédige ensuite ses ordres pour la Garde, lui demandant de passer les gués et de repousser les Prussiens établis sur la rive de la rivière.
La Garde va s’établir entre le village et la rivière, tandis que la brigade Xavathor va se reformer à l’arrière.
L’artillerie se place sur la route de manière à battre le pont.
Pendant ce temps le Maréchal Hervé, pressentant une attaque de cavalerie sur sa droite, le seul endroit où cette dernière a suffisamment de champ pour manœuvrer, a fait mettre les bataillons d’infanterie les plus à droite de son dispositif en carrés, et la moitié de sa Cavalerie en ligne derrière la rivière, de manière à contre-charger si nécessaire.
Le Général Lucas donne l’ordre à ses Dragons de passer à l’attaque, et garde ses Cuirassiers en réserve. Voyant les escadrons de Dragons s’avancer seuls, le Maréchal PAB envoie un aide de camp au Général Lucas, lui demandant de charger avec toute sa cavalerie. A réception du message, le Général Lucas dit à l’aide de camp : « Dites au Maréchal que je souhaite conserver mes Cuirassiers pour une seconde vague ». De retour auprès du Maréchal PAB, l’aide de camp transmet la réponse du Général Lucas. Le Maréchal PAB dicte alors la lettre suivante au Général Lucas :
A réception de la missive, le Général Lucas se tourne vers ses aides de camp et leur dit : « il nous envoie au casse-pipe ! ». Néanmoins, il donne ses ordres et les Cuirassiers partent au trot à la suite des Dragons. Le Général Lucas va se porter à l’avant de sa cavalerie, s’écriant « Ils ne se sacrifieront pas sans moi ! »
A ce moment, la Garde franchit les gués et se reforme en colonnes d’attaque.
La cavalerie sur l’aile droite prussienne franchit la rivière mais, voyant au loin les escadrons français venant à sa rencontre en rangs serrés, choisit prudemment de revenir en arrière.
Situation à mi-journée :
Sur l’aile gauche, la cavalerie passe la rivière et s’approche des carrés prussiens.
Suivant les conseils d’un observateur britannique qui accompagne l’armée, et qui a combattu les français avec le Maréchal Wellesley dans la Péninsule, l’aile gauche prussienne s’est embusquée derrière un léger repli de terrain, et s’est couchée au sol. Seuls quelques observateurs et les officiers peuvent voir les colonnes françaises monter depuis la rive.
La Garde, qui vient de passer les gués, s’est remise en formation et commence à gravir la légère pente entre les deux bois. Toutefois, les grognards sont quelque peu circonspects, car ils s’attendaient à voir devant eux des lignes prussiennes en ordre de combat, et ils ne voient aucun ennemi.
La Garde continue sa progression et s’approche de la crête. Alors que les français ne sont plus qu’à quelques pas , une sonnerie de cor retentit : les unités prussiennes se redressent toutes ensembles et fusillent les français à bout portant.
Les premiers rangs de la Garde sont décimés. Un cri se fait entendre : « trahison ! » Sous le feu de l’ennemi, incapables de riposter, la Garde hésite et recule, quelques soldats paniquent et, au cri de « Sauve qui peut ! » , l’élite de l’armée impériale rompt les rangs et s’enfuit !
Depuis que l’artillerie française s’est installée sur la route, elle bombarde les cavaliers prussiens assemblés derrière le pont. N’y tenant plus, le commandant de la cavalerie prussienne prend l’initiative d’attaquer ces canons, considérant que, tant qu’à avoir des pertes, autant que ce soit pour une bonne raison.
Les prussiens traversent donc le pont se lancent à l’assaut des canons français.
Voyant cela, le commandant de la batterie française fait charger à mitraille et intime à ses pièces l’ordre de retenir leur tir, avec la ferme intention de rendre aux prussiens la monnaie de leur pièce après l’attaque avortée de la Garde.
Alors que les prussiens sont quasiment au contact de canons, l’ordre de feu est donné et les escadrons prussiens sont balayés. Hommes et chevaux jonchent le sol. Les rares survivants refluent vers les lignes prussiennes.
A ce moment, les français occupent le village, mais les prussiens restent maîtres de la rive droite de la rivière et du pont, et tiennent tête aux cavaliers français sur leur aile droite.
Situation en fin de journée (2) :
La nuit tombant, le Maréchal PAB fait rappeler les Cuirassiers du Général Lucas et se replie, en se demandant quelle excuse il va bien pouvoir donner à l’Empereur pour n’avoir pas rempli ses objectifs.
La simulation amène un résultat conforme à l’histoire, les français n’ayant pu, dans la réalité, enfoncer les lignes prussiennes.
Cette partie a été jouée avec la Règle Black Powder, dans une traduction de Xavathor, avec des figurines 28 mm.
Aucun animal, aucune figurine, aucun joueur n’ont été maltraités pendant cette partie.
Figurines et Décors : Xavathor
Photos : firkaag
Rapport et prise de notes : PAB
Joueurs : Xavathor, firkaag, PAB, hervé_lucas, CedricetMary
Les forces en présence :
Prussiens : 12 bataillons d’ Infanterie, dont 3 de Landwehr, 6 escadrons de Cavalerie, 4 batteries d’Artillerie.
Français : 16 bataillons d’Infanterie, dont 4 de la Garde, 6 escadrons de Cavalerie, 1 batterie d’Artillerie.
Les Prussiens de Blücher, installés dans Laon sont en position défensive. Les Français arrivent par la route et doivent conquérir le village (L’Eglise « T », le Manoir « M », et la Ferme « F ») et le pont qui franchit l’Ardon, un cours d’eau qui prend sa source non loin.
Les Prussiens sont sous les ordres du FeldMarschall Hervé, qui a directement sous ses ordres la Cavalerie, positionnée en Réserve, et l’Artillerie, déployée sur les hauteurs. Le Generalleutnant Firkaag commande les 9 bataillons de Ligne positionnés derrière la rivière, et le Generalmajor Cedric est positionné en avant-garde dans le village, et occupe le Manoir , l’Eglise, et la Ferme. Il a déployé un rideau de tirailleurs devant ces deux derniers bâtiments.
Les Français commandés par le Maréchal PAB arrivent par la route de Soissons à Laon. L’Aile gauche, commandée par le Général Lucas, se compose 4 bataillons d’Infanterie, et des 6 escadrons de Cavalerie. Le Général Lucas a fait mettre des tirailleurs en avant de ses troupes. Le Général Xavathor, à l‘aile droite a maintenu la moitié de ses troupes en colonne sur la route, avec son Artillerie, et a déployé l’autre moitié en ordre de bataille devant le village, avec un écran de tirailleurs.
Voici la carte des déploiements initiaux :
Et quelques gravures d’époque prises sur le vif :
Vue d’ensemble du dispositif Prussien :
Les positions fortifiées de l’Artillerie Prussienne :
L’arrivée des Troupes Françaises :
la Garde Impériale :
Les positions fortifiées de l’Artillerie Prussienne :
L’arrivée des Troupes Françaises :
la Garde Impériale :
Le Maréchal PAB donne ses ordres à ses Généraux :
Le plan, et l’exposé du Feldmarschall Hervé à ses Officiers, sont d’une remarquable simplicité :
Les Généraux mettent aussitôt leurs ordres à exécution :
L’Infanterie prusienne sur la rive droite avance légèrement et se déploie un peu en retrait de la rivière, avec des écrans d titailleurs devant elle.
La Cavalerie prussienne commence un mouvement vers la droite du terrain.
L’artillerie prussienne tire quelques boulets pour vérifier le bon réglage de ses pièces.
L’aile gauche française se déploie en ligne d’escadrons, pour la Cavalerie, et en ligne de bataillons, pour l’Infanterie, avec ses tirailleurs en avant, et commence à avancer.
A l’aile droite, la 1ère brigade se met en position devant la Ferme et commence à tirer sur les défenseurs, pendant que la 2ème brigade se déploie pour l’attaque de l’Eglise et du Manoir.
La Garde avance sur la route principale.
Les premiers mouvements :
A la Ferme, un duel de mousqueterie s’engage entre les troupes de Landwehr retranchées dans les bâtiments et les bataillons de la 1ère brigade.
Les bataillons français en formation d’attaque devant la Ferme :
La 2ème brigade du Général Xavathor arrivée à portée de tir de l’Eglise, commence à envoyer des salves sur les troupes prussiennes qui s’y abritent. La batterie d’Artillerie se met en position et dételle.
Malgré leur infériorité numérique, les Prussiens résistent vaillamment dans la Ferme et l’Eglise, infligeant même des pertes significatives aux troupes françaises. Pendant ce temps, l’aile gauche atteint la limite de portée de l’Artillerie prussienne.
L’aile gauche française en marche :
Les Prussiens se défendent avec acharnement dans la Ferme et l’Eglise (1) :
Les Prussiens se défendent avec acharnement dans la Ferme et l’Eglise (2) :
Les Prussiens se défendent avec acharnement dans la Ferme et l’Eglise (1) :
Les Prussiens se défendent avec acharnement dans la Ferme et l’Eglise (2) :
Les premiers combats :
Se rendant compte que les défenses prussiennes faiblissent, le Général Xavathor ordonne un assaut général sur la Ferme. Les Prussiens résistent encore un long moment puis finissent par céder, et les rares survivants se replient, après avoir immobilisé la 1ère brigade du Général Xavathor pendant un temps précieux, et lui avoir infligé de lourdes pertes.
Dans son élan, la 1ère brigade attaque le Manoir, pendant que la 2ème brigade monte à l’assaut de l’Eglise
L’assaut français sur la Ferme :
Bien qu’elle soit canonnée par l’Artillerie et sous le feu de quatre bataillons français, l’Eglise résiste toujours.
Le combat autour de l’Eglise et l’attaque du Manoir :
Sur l’aile gauche française, les tirailleurs ont voulu reconnaître le terrain vers la rivière, mais ont essuyé les tirs de l’Artillerie prussienne et ont dû rebrousser chemin.
Après une très longue résistance, l’Eglise et le Manoir sont enfin pris par les français, qui déplorent de très lourdes pertes. Le Général Xavathor envoie un message au Maréchal PAB :
Situation à ce moment de la bataille :
A la réception de ce message le Maréchal PAB se concerte avec son Chef d’Etat-Major et, compte-tenu des pertes subies par son aile droite, dont il peut juger sur place, il décide de renvoyer la Division Xavathor à l’arrière et de continuer l’attaque avec la Garde, et adresse ce message au Général Xavathor :
Le Maréchal PAB rédige ensuite ses ordres pour la Garde, lui demandant de passer les gués et de repousser les Prussiens établis sur la rive de la rivière.
La Garde va s’établir entre le village et la rivière, tandis que la brigade Xavathor va se reformer à l’arrière.
L’artillerie se place sur la route de manière à battre le pont.
Pendant ce temps le Maréchal Hervé, pressentant une attaque de cavalerie sur sa droite, le seul endroit où cette dernière a suffisamment de champ pour manœuvrer, a fait mettre les bataillons d’infanterie les plus à droite de son dispositif en carrés, et la moitié de sa Cavalerie en ligne derrière la rivière, de manière à contre-charger si nécessaire.
Le Général Lucas donne l’ordre à ses Dragons de passer à l’attaque, et garde ses Cuirassiers en réserve. Voyant les escadrons de Dragons s’avancer seuls, le Maréchal PAB envoie un aide de camp au Général Lucas, lui demandant de charger avec toute sa cavalerie. A réception du message, le Général Lucas dit à l’aide de camp : « Dites au Maréchal que je souhaite conserver mes Cuirassiers pour une seconde vague ». De retour auprès du Maréchal PAB, l’aide de camp transmet la réponse du Général Lucas. Le Maréchal PAB dicte alors la lettre suivante au Général Lucas :
A réception de la missive, le Général Lucas se tourne vers ses aides de camp et leur dit : « il nous envoie au casse-pipe ! ». Néanmoins, il donne ses ordres et les Cuirassiers partent au trot à la suite des Dragons. Le Général Lucas va se porter à l’avant de sa cavalerie, s’écriant « Ils ne se sacrifieront pas sans moi ! »
A ce moment, la Garde franchit les gués et se reforme en colonnes d’attaque.
La cavalerie sur l’aile droite prussienne franchit la rivière mais, voyant au loin les escadrons français venant à sa rencontre en rangs serrés, choisit prudemment de revenir en arrière.
Situation à mi-journée :
Sur l’aile gauche, la cavalerie passe la rivière et s’approche des carrés prussiens.
La Cavalerie française franchit la rivière :
Les carrés prussiens attendent de pied ferme la cavalerie française :
La charge de la cavalerie française :
Les carrés prussiens attendent de pied ferme la cavalerie française :
La charge de la cavalerie française :
Suivant les conseils d’un observateur britannique qui accompagne l’armée, et qui a combattu les français avec le Maréchal Wellesley dans la Péninsule, l’aile gauche prussienne s’est embusquée derrière un léger repli de terrain, et s’est couchée au sol. Seuls quelques observateurs et les officiers peuvent voir les colonnes françaises monter depuis la rive.
La Garde, qui vient de passer les gués, s’est remise en formation et commence à gravir la légère pente entre les deux bois. Toutefois, les grognards sont quelque peu circonspects, car ils s’attendaient à voir devant eux des lignes prussiennes en ordre de combat, et ils ne voient aucun ennemi.
La Garde continue sa progression et s’approche de la crête. Alors que les français ne sont plus qu’à quelques pas , une sonnerie de cor retentit : les unités prussiennes se redressent toutes ensembles et fusillent les français à bout portant.
La Garde arrive au contact des prussiens :
Les premiers rangs de la Garde sont décimés. Un cri se fait entendre : « trahison ! » Sous le feu de l’ennemi, incapables de riposter, la Garde hésite et recule, quelques soldats paniquent et, au cri de « Sauve qui peut ! » , l’élite de l’armée impériale rompt les rangs et s’enfuit !
La Garde rompt de combat :
La Garde bat en retraite :
Sur l’aile gauche, malgré des combats acharnés, la cavalerie française n’arrive pas à entamer les carrés prussiens. Après plusieurs charges, les dragons se replient pour aller se réorganiser, laissant les cuirassiers seuls au contact.La Garde bat en retraite :
Les Dragons français se retirent :
Depuis que l’artillerie française s’est installée sur la route, elle bombarde les cavaliers prussiens assemblés derrière le pont. N’y tenant plus, le commandant de la cavalerie prussienne prend l’initiative d’attaquer ces canons, considérant que, tant qu’à avoir des pertes, autant que ce soit pour une bonne raison.
Les prussiens traversent donc le pont se lancent à l’assaut des canons français.
Voyant cela, le commandant de la batterie française fait charger à mitraille et intime à ses pièces l’ordre de retenir leur tir, avec la ferme intention de rendre aux prussiens la monnaie de leur pièce après l’attaque avortée de la Garde.
Alors que les prussiens sont quasiment au contact de canons, l’ordre de feu est donné et les escadrons prussiens sont balayés. Hommes et chevaux jonchent le sol. Les rares survivants refluent vers les lignes prussiennes.
La charge des prussiens contre les canons français :
Et le résultat :
Et le résultat :
A ce moment, les français occupent le village, mais les prussiens restent maîtres de la rive droite de la rivière et du pont, et tiennent tête aux cavaliers français sur leur aile droite.
Situation en fin de journée (1) :
Situation en fin de journée (2) :
La nuit tombant, le Maréchal PAB fait rappeler les Cuirassiers du Général Lucas et se replie, en se demandant quelle excuse il va bien pouvoir donner à l’Empereur pour n’avoir pas rempli ses objectifs.
La simulation amène un résultat conforme à l’histoire, les français n’ayant pu, dans la réalité, enfoncer les lignes prussiennes.
Cette partie a été jouée avec la Règle Black Powder, dans une traduction de Xavathor, avec des figurines 28 mm.
Aucun animal, aucune figurine, aucun joueur n’ont été maltraités pendant cette partie.
Figurines et Décors : Xavathor
Photos : firkaag
Rapport et prise de notes : PAB
Joueurs : Xavathor, firkaag, PAB, hervé_lucas, CedricetMary
Re: [Rapport] Bataille de Laon du 7 avril 2012 !
Je n'avais pas encore lu!!!
Good job!
On fera la même, si vous voulez bien, sur la grosse partie BK que nous projetons à l'automne!
Good job!
On fera la même, si vous voulez bien, sur la grosse partie BK que nous projetons à l'automne!
Xavathor- Bien aimé ex-président
- Messages : 1853
Date d'inscription : 09/09/2008
Age : 44
Localisation : Fontainebleau
Re: [Rapport] Bataille de Laon du 7 avril 2012 !
Oh oui, ça va être super ! Avec les messages en français, en anglais, en allemand, et en polonais !!! Et des sous-titres en patois normand. Pour faire couleur locale ...Xavathor a écrit:
On fera la même, si vous voulez bien, sur la grosse partie BK que nous projetons à l'automne!
Xavathor- Bien aimé ex-président
- Messages : 1853
Date d'inscription : 09/09/2008
Age : 44
Localisation : Fontainebleau
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